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Rapports MR21 : alimenter les débats sur l'entreprise durable

Elaborés chaque année en collaboration avec les Master Class 21, les Rapports MR21 ont vocation à alimenter les réflexions sur l’entreprise durable de demain.

Un corpus de réflexions et de solutions sur la base de témoignages de professionnels et d'experts

Lancés en 2018, les Rapports MR21 constituent un corpus de réflexions et de propositions visant à participer à l’emergence d’un modèle d’entreprise durable.

Elaborés avec le concours de professionnels et d’experts via une série d’interviews, les Rapports MR21 s’attachent à décrypter des sujets clés de la durabilité et à proposer de nouvelles solutions.

 

Les Rapports MR21 sont largement débattus lors du rendez-vous annel du MR21, le Forum MR21 ainsi que dans diverses instances nationales et européennes.

Parmi les principaux sujets développés dans les précédents Rapports MR21:

– Vers un nouveau modèle d’entreprise durable européenne? 

–  Repenser les relations parties prenantes de l’entreprise

– Guide de décryptage du reporting extra-financier.


Le prochain Rapport MR21 sera consacré au thème « Quand la transformation durable de l’entreprise devient l’affaire des salariés. » Sa publication est prévue en Septembre 2022.

Retrouvez tous les Rapports MR21
12 septembre 2023RapportsDécouvrez le dernier Rapport MR21. La Responsabilité s’installe dans le paysage économique. Sa prise en compte bouscule les repères, les critères de prise de décision. Les stratégie de RSE impactent progressivement tous les métiers. Mais rares sont les travaux sur le management responsable qui abordent à la fois le «quoi» : les connaissances spécifiques pour pouvoir accompagner la transformation durable, et le «comment» : les pratiques managériales appropriées pour conduire ces changements systémiques au niveau des organisations. En écho à sa Raison d’être, et pour partager avec ses parties prenantes des outils concrets, le réseau MR21 a voulu se pencher sur cette question. LIRE LE RAPPORT COMPLET [...]
30 septembre 2022RapportsRetrouvez le nouveau Rapport MR21 présenté le 30 septembre 2022 lors du Forum Annuel MR21 “Je t’ajoute dans le groupe Teams pour rejoindre la communauté Climat ? ” Aussi simple qu’un clic, comme ils le feraient pour rejoindre une communauté virtuelle dans leur vie privée, les salariés peuvent désormais se retrouver pour parler de la problématique de l’empreinte carbone de leur entreprise mais aussi d’ancrage territorial, de management responsable ou encore de conditions de travail et joindre leur force pour faire changer les choses dans leur entreprise. Les faire changer, vraiment ? Les collectifs de salariés se développent comme des champignons, quels sont les facteurs clés de succès pour mobiliser l’entreprise, et la faire bouger ? Au gré d’un travail de 6 mois basé sur plus d’une trentaine d’entretiens, d’une recherche documentaire, des discussions entre 20 volontaires formés sur la transition durable des entreprises, membres de l’association MR21 ainsi que son président fondateur Patrick d’Humières, nous avons essayé de répondre à cette question. LIRE LE RAPPORT COMPLET [...]
21 mars 2022Evénements / RapportsLire le rapport complet Dans notre précédent focus, nous évoquions les années d’incertitude que nous venons de passer avec une économie mise à l’arrêt puis repartant dynamiquement. Depuis quelques semaines, l’instabilité géopolitique marque une nouvelle fois cruellement le continent européen, instabilité à la faveur de la publication du deuxième volet du rapport du GIEC passe sous silence. Dans ce contexte, il nous semble toujours plus nécessaire de promouvoir une « troisième voie européenne du capitalisme », à l’image de Clément Beaune et Olivia Grégoire. Nous avons exploré la dimension juridique dans la Planet Benefit company, nous nous interrogeons à présent sur la manière dont l’entreprise durable peut piloter opérationnellement ses activités. Une entreprise durable doit mettre son client au centre de sa stratégie non seulement en termes de relation (traiter son client sur la « life time customer value ») mais aussi en termes d’offres et de services et de mode de consommation proposés. Cette posture exigeante s’appuie sur la mise en place d’une dynamique d’innovation négociée, ouverte et continue transformant non seulement l’entreprise mais aussi son secteur puisqu’elle emmène son écosystème fournisseurs (à l’instar de Carrefour avec son programme Act for good). L’entreprise durable européenne devient un moteur de transformation de l’économie et des comportements. Sur l’activité propre, la décarbonation des opérations doit être menée de manière rigoureuse et transparente, en s’appuyant sur des méthodologies reconnues (SBT…) et en en rendant compte aux parties prenantes. Elle peut également constituer une opportunité de repenser les modes de consommation et par conséquent d’innover en proposant de nouvelles offres pensées pour un développement respectueux des limites planétaires. Enfin, l’entreprise durable européenne entretient des relations répondant aux référentiels sociaux mondiaux avec tous ses partenaires, ceux de premier rang comme ceux qui sont plus éloignés dans la chaine de valeur. L’éthique et la redevabilité sont des leviers qui lui permettent de rester en phase avec cet engagement pour la durabilité, dans la durée. Sur ce dernier point, l’Europe s’engage aussi fermement dans cette voie avec sa nouvelle directive sur le devoir de vigilance qui va s’appliquer à environ 13 000 entreprises. Nous vous donnons rendez-vous dans quelques semaines pour notre prochain focus sur l’importance du dialogue avec les parties prenantes. Plus de détail dans notre rapport qui n’aurait jamais pu naître sans les personnes engagées ayant apporté leur éclairage précieux et que nous remercions encore une fois : Jacques Attali. Économiste, écrivain et président de la Fondation Positive Planet.Mathieu Auzanneau. Directeur du Shift Project.Caroline Avan. Chargée de plaidoyer/industries extractives, justice fiscale et inégalités, Oxfam.Bertrand Badré. Ancien directeur de la Banque Mondiale, PDG et fondateur de « Blue like an Orange ».Viviane de Beaufort. Professeur, chercheur ESSEC, spécialiste des sujets de gouvernance et du droit européen.Jean de Wailly. Co-fondateur PTCE Vivre les Mureaux.Michel Defabiani. Président de la Chambre de commerce et d’industrie Francobritannique.Olivier Delbard. Professeur à l’ESCP Europe.Geneviève Ferone Creuzet. Co-fondatrice du cabinet Prophil , administratrice de la Communauté des Entreprises à Mission, Vice-présidente du Shift Project.Claude Fromageot. Directeur Développement durable du groupe Rocher et Chairman du Global Partnership Business & Biodiversity, Convention des Nations Unies pour la diversité Biologique.Hervé Guez. Directeur investissement responsable, Mirova.Benoit Halgand. Étudiant, membre du collectif « Pour un Réveil Écologique ».Charles-Benoit Heidsieck. Président-fondateur du RAMEAU.Jean-Pierre Maugendre. Directeur adjoint Développement Durable, Suez.Nicolas Mottis. Professeur à Polytechnique.Philippe Mutricy. Directeur de l’Evaluation des Etudes et de la Prospective, BPI France.Blanche Segrestin. Professeur et directrice du Centre de Gestion Scientifique Mines ParisTech.Hélène Valade. Directrice développement durable environnement du groupe LVMH, présidente de l’ORSE.Bertrand Valiorgue. Professeur en stratégie et gouvernance des entreprises à l’IAE Clermont-Auvergne. Votre soutien est précieux, nous vous invitons à nous contacter si vous souhaitez vous associer à notre action et apporter plus d’ampleur et de visibilité à ce modèle d’entreprise à mission européenne. [...]
17 janvier 2022RapportsLire le rapport L’année 2021 a été l’année du questionnement après une crise sans précédent mais également une année d’espoir car la reprise économique a su faire sa place sans que l’on puisse même penser que cela pouvait être envisageable après la pandémie. Et pourtant, indépendamment des vagues qui ne seront sûrement pas évitables, la reprise en tant que telle, quand bien même accompagnée d’une prise de conscience grandissante du besoin de faire différemment, n’est pas suffisante : les entreprises multiplient les annonces vers plus de durabilité, une trajectoire net zéro mais le cap n’est pas toujours réfléchi, documenté, structuré ou encore validé par des références scientifiques reconnues (1). Il est dès lors plus que jamais nécessaire que le droit européen, s’appuyant sur l’engagement historique d’une Europe portant un capitalisme humain et plus engagé, contribue à sa manière à un modèle d’entreprise responsable non contraignant mais encourageant les entreprises à structurer et inscrire leur démarche de durabilité sur les sujets incontournables de (i) la chaîne de valeur (ii) l’engagement des parties prenantes (iii) la redevabilité et l’éthique (iv) la gouvernance. Il s’agit du cœur même de notre proposition de modèle d’entreprise durable européen que notre communauté a détaillé dans son rapport “Un nécessaire modèle d’entreprise durable européenne” publié en septembre 2021. Ce socle commun sera nécessairement objectif – car issu du droit ou d’un label d’Etat-, reposant pour la plupart sur des pratiques souvent disparates mais en partie intégrée dans les best practices des entreprises les plus responsables, et permettant ainsi de contourner les biais de la multitude des labels et agences de notation souvent financés par des acteurs privés qui réalisent des évaluations sur la base de critères et ratios différents, pas toujours transparents , et rendant quasiment impossible une comparaison objective et précise (2). Le principe d’une entreprise à mission européenne est largement soutenu par la Communauté des Entreprises à Mission comme l’illustre l’objet de son dernier congrès annuel tenu le 1er décembre dernier (3). La question de la forme : statut optionnel, qualité ou encore label,  reste à définir mais la nécessité d’ancrer un modèle de gouvernance durable est régulièrement évoquée et a été reprise par la résolution du Parlement Européen du 17 décembre 2020. Il s’agit donc d’un sujet montant, stratégique sur lequel l’Europe cherche à se positionner pour développer un modèle différenciant et compétitif. La France suit clairement cette voie en s’engageant, à travers son programme de présidence de l’Union Européenne (4) à faire la promotion d’un “capitalisme responsable”. Il est évident que ce projet est ambitieux et qu’une des conditions de succès de sa réussite est son “opérationnalité”. Il doit être compatible avec la vie de l’entreprise et de ses collaborateurs. Il risque de lever quelques réticences à l’instar du projet de devoir de vigilance européen qui ne cesse d’être reporté. Et pourtant, le projet doit être diffusé, amplifié et débattu afin de le rendre réaliste et accessible. Il ne faut rien lâcher: “Notre plus grande faiblesse, c’est d’abandonner. Le plus sûr moyen de réussir, c’est toujours d’essayer, juste encore une fois”. Cette citation de Thomas Edison nous encourage à maintenir le cap dans un contexte toujours incertain mais où les nations, les entreprises et les citoyens commencent à appréhender les risques associés à un monde figé confronté aux limites planétaires de Kate Raworth. Cette initiative n’aurait jamais pu naître sans les personnes engagées ayant apporté leur éclairage précieux et que nous remercions encore une fois : Jacques Attali. Économiste, écrivain et président de la Fondation Positive Planet.Mathieu Auzanneau. Directeur du Shift Project.Caroline Avan. Chargée de plaidoyer/industries extractives, justice fiscale et inégalités, Oxfam. Bertrand Badré. Ancien directeur de la Banque Mondiale, PDG et fondateur de « Blue like an Orange ».Viviane de Beaufort. Professeur, chercheur ESSEC, spécialiste des sujets de gouvernance et du droit européen.Jean de Wailly. Co-fondateur PTCE Vivre les Mureaux.Michel Defabiani. Président de la Chambre de commerce et d’industrie Francobritannique.Olivier Delbard. Professeur à l’ESCP Europe.Geneviève Ferone Creuzet. Co-fondatrice du cabinet Prophil , administratrice de la Communauté des Entreprises à Mission, Vice-présidente du Shift Project.Claude Fromageot. Directeur Développement durable du groupe Rocher et Chairman du Global Partnership Business & Biodiversity, Convention des Nations Unies pour la diversité Biologique. Hervé Guez. Directeur investissement responsable, Mirova.Benoit Halgand. Étudiant, membre du collectif « Pour un Réveil Écologique ».Charles-Benoit Heidsieck. Président-fondateur du RAMEAU.Jean-Pierre Maugendre. Directeur adjoint Développement Durable, Suez.Nicolas Mottis. Professeur à Polytechnique.Philippe Mutricy. Directeur de l’Evaluation des Etudes et de la Prospective, BPI France.Blanche Segrestin. Professeur et directrice du Centre de Gestion Scientifique Mines ParisTech.Hélène Valade. Directrice développement durable environnement du groupe LVMH, présidente de l’ORSE.Bertrand Valiorgue. Professeur en stratégie et gouvernance des entreprises à l’IAE Clermont-Auvergne. Nous avons cependant encore besoin de soutiens et relais. Nous vous invitons donc à nous contacter pour vous associer à notre action et apporter plus d’ampleur et de visibilité à ce modèle d’entreprise à mission européenne. (1) cas de l’agro business: https://www.iatp.org/emissions-impossible-europe(2) https://www.bloomberg.com/graphics/2021-what-is-esg-investing-msci-ratings-focus-on-corporate-bottom-line/(3) https://www.aefinfo.fr/depeche/663423 (4) https://presidence-francaise.consilium.europa.eu/media/zeqny1y5/fr_programme-pfue.pdf [...]
20 septembre 2021Non classé / RapportsProposition de “Planet Benefit Company” basée sur 21 fondamentaux L’objet du présent travail de réflexion et de plaidoyer est de proposer les fondamentaux de ce modèle volontaire de « Planet Benefit Company », qui incarnerait l’idéal de l’entreprise durable européenne et qui aurait vocation à être promu et valorisé par les autorités publiques européennes. Les 21 fondamentaux de ce modèle d’entreprise durable sont ainsi détaillés dans l’étude allant de la composition des conseils d’administration, à l’offre des entreprises, à leur conformité aux règles en vigueur, à la mesure des impacts et l’engagement des parties prenantes, assurant par la même occasion la pleine application des Objectifs de Développement Durable. LIRE LE RAPPORT COMPLET Nous espérons que cette proposition d’un modèle optionnel d’entreprise durable sera étudiée, qu’il inspirera les différents acteurs par-delà les réformes générales en cours, en vue de favoriser une économie de marché compatible avec une logique de meilleure régulation des échanges, juste et équitable, que l’Union Européenne veut promouvoir dans le cadre de la réforme de l’Organisation Mondiale du Commerce. [...]
1 juillet 2021Non classé / RapportsClés de lecture pour l’analyse de la Déclaration de Performance Extra-Financière des entreprises. MR21 publie Décryptage du reporting extra-financier, un guide conçu pour des professionnels qui souhaitent mieux comprendre les stratégies RSE de leurs organisations. ACCÉDER AU GUIDE COMPLET En amont de la mise en place de la réglementation européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), MR21 publie le 30 juin 2021 le guide Décryptage du reporting extra-financier afin de faciliter la lecture des stratégies RSE des entreprises. Ce guide est un outil pratique basé sur les questions que chaque collaborateur ou observateur de l’entreprise qui s’interroge sur l’impact de son activité professionnelle peut être amené à se poser. Il a vocation à contribuer à une meilleure appropriation des démarches RSE afin de faciliter la transformation durable des entreprises. Comprendre et évaluer l’engagement d’une entreprise en faveur du développement durable et de l’inclusion sociale « Cette entreprise mesure-telle toutes les émissions de gaz à effet de serre qu’elle génère ? A-t-elle pris des engagements sur le climat cohérents avec les Accords de Paris ? Quelle est la qualité et l’étendue du dialogue social ? A-t-elle pris la mesure de la transition écologique et de ses possibles effets sur les emplois ? Traite-elle le risque de générer du travail forcé ou du travail des enfants dans sa chaîne de valeur ? Quelle part les femmes représentent-elles dans son management ? Quelle part du chiffre d’affaires est relative à des produits durables ? … » Des réponses à ces questions sont apportées dans la Déclaration de Performance Extra-Financière (DPEF), une publication obligatoire pour toutes les grandes entreprises. Document complexe dont le contenu est régi par des normes et des référentiels, la DPEF est essentiellement utilisée par les agences de notation extra-financières, les régulateurs et les ONG. Mais l’appropriation de la DPEF par les collaborateurs et leurs représentants au sein du Comité Social et Économique de l’entreprise, voire par le grand public, constituerait un progrès important pour nourrir des échanges constructifs et renforcer l’appropriation des sujets par toutes les parties prenantes. C’est pour faciliter son décryptage que l’association MR21, qui rassemble des professionnels de la RSE, propose dans ce document une grille de lecture de la DPEF à partir de quelques questions clés. Des évolutions importantes dans la future règlementation CSRD et ses transcriptions nationales, qui renforcent le besoin d’appropriation des sujets de développement durable des entreprises par toutes les parties prenantes La future réglementation européenne CSRD applicable en 2024 sur les informations 2023 fera évoluer considérablement le contenu de la DPEF et son périmètre d’application qui sera étendu à des entreprises de plus 250 personnes contre un seuil de 500 aujourd’hui. Une obligation de connectivité entre informations financières et extra-financières sera apportée pour que les entreprises produisent non plus deux approches séparées mais un reporting de « durabilité ». L’objectif général est d’apporter aux investisseurs, entreprises et observateurs de la société civile, une même lecture de l’impact des activités économiques sur la société et l’environnement, de façon à identifier et développer sélectivement celles qui contribuent à la transition écologique et sociale attendue. Des évolutions saluées par MR21 qui soutiendra l’idée d’un lien fort de ces nouveaux cadres avec les Objectifs de Développement Durable et l’Agenda 2030. Le guide Décryptage du reporting extra-financier a été rédigé par cinq membres de la communauté MR21, sur la base de leur expertise professionnelle et d’entretiens avec des acteurs de l’écosystème de la RSE en France. [...]
22 juin 2020Non classé / RapportsLa Société attend des entreprises qu’elles apprennent à fonctionner avec leurs parties prenantes La reconstruction économique appelle à une mutation des rapports que les entreprises entretiennent avec la Société. De la théorie de Freeman aux conséquences du Covid-19, les relations Entreprise & Société sont toujours en attente d’une méthode de gouvernance qui répond aux enjeux collectifs et à la durabilité des modèles économiques, intégrant la prise en compte de la Société dans le projet de l’entreprise. Convaincue que l’entreprise du XXIème siècle se construira « en Société », la communauté MR21/Managers Responsables, analyse dans un rapport pourquoi et comment il faut repenser et relancer les relations de l’entreprise avec ses parties prenantes. LIRE LE RAPPORT COMPLET LIRE LA SYNTHÈSE Le rapport élaboré par la communauté MR21, rassemblant plus d’une centaine de cadres engagés dans le développement durable en entreprise, rappelle que « la Société » est bien l’enjeu crucial de la transformation durable de nos économies. 5 actions concrètes sont proposées aux entreprises en lieu et place d’une vision juridique qui a bloqué trop longtemps cette question : Installer une expertise des attentes de la Société au niveau du management de la Direction RSE/DD, garante du dialogue, de sa méthode, de son éthique et de son efficacité.Editer un rapport annuel sur les attentes sociétales des parties prenantes à l’égard de l’entreprise.Insérer la remontée de ces attentes sociétales dans la chaîne de décision, dont le comité RSE de l’entreprise doit assurer le suivi.Entrer dans une logique d’accords entre l’entreprise et les partenaires de la Société pour « résoudre » avec eux les controverses et problématiques sociétales exprimées.Faire entrer dans les Conseils d’administration, des administrateurs ayant une vraie expertise sociétale pour qu’ils puissent y faire valoir l’intérêt de la Société. A travers ces propositions, les membres du MR21 ont l’ambition de faire émerger une nouvelle doctrine qu’on ne limitera plus aux simples échanges de forme mais qui deviendra véritablement « l’intégration de la relation à la Société » dans la décision et la création de richesses par l’entreprise, pour le plus grand nombre, d’une façon écologique et responsable socialement, condition nécessaire pour passer d’un capitalisme actionnarial de plus en plus critiqué à un capitalisme parties prenantes, de plus en plus attendu. À propos des auteurs. Travail collectif réalisé sous la direction de Marine CHAMPON (co-fondatrice de MR21, fondatrice d’INITIATIK) et de Patrick D’HUMIERES (Directeur pédagogique à CentraleSupélec Exed, professeur à Sciences-Po, fondateur d’Eco-Learn). Communiqué de presse officiel Contact Presse Audrey de Garidel , Déléguée Générale 06.88.49.24.98 – contactmr21@gmail.com [...]